« Ma fascination pour les lois fondamentales régissant l’Univers m’a amené à effectuer une Licence en physique, orientation théorique, à l'Université de Mons. J’ai ensuite décroché une bourse F.R.S-FNRS qui m’a permis de me consacrer à la recherche en physique des particules, avec à la clé une thèse de doctorat et un contrat postdoctoral. Ma carrière se poursuit aujourd’hui en Haute-École, où activités de recherche et d’enseignement sont étroitement mêlées, et où créativité et échange restent maîtres mots. »

Fabian Debal, Docteur en physique de l’université de Mons. Prévisionniste à l’IRM.

« Ma passion, depuis tout jeune, pour les phénomènes atmosphériques, et mon désir d’en comprendre les processus sous-jacents pour me lancer dans l’exercice délicat de leur prévision, m’ont conduit à envisager le métier de météorologue. Le choix d’entreprendre une Licence en sciences physiques s’est alors imposé naturellement, tout autant que celui de l’Université de Mons, pour la qualité, l’excellent niveau et la diversité de son enseignement, ainsi que sa dimension humaine. J’ai ensuite poursuivi ma formation par la réalisation d’une thèse de Doctorat, au sein du service de Chimie Inorganique et Analytique dirigé par le Prof. M. Hecq, et avec le soutien de mon promoteur, le Prof. M. Wautelet. Cela m’a permis d’appréhender les différents aspects du travail de chercheur et la richesse d’une approche pluridisciplinaire. Après avoir travaillé comme assistant au sein du service de Physique Générale du Prof. C. Bouquegneau, j’ai été engagé dans un projet de recherche sur l’exploitation des données satellitaires à l’Institut Royal Météorologique. En 2002, j’ai intégré l’équipe des météorologues et suis aujourd’hui chef du service scientifique « prévisions du temps » de l’IRM. Par ailleurs, je dispense un cours de Météorologie aux étudiants de Master de l’UMons. J’ai donc pu embrasser la carrière dont je rêvais, et l’Université de Mons a certainement contribué à cette réussite, ainsi qu’à mon épanouissement personnel aussi bien que professionnel. »

Benjamin Delattre, Master en Physique des matériaux (2011).

« Désireux de mieux connaître le monde qui nous entoure ainsi que la nature des lois régissant notre univers, la physique a toujours été pour moi, la clé de la connaissance. Pour cette raison, le choix d’entreprendre un Master dans cette branche me fut relativement aisé. En premier lieu, lors du bachelier, l’enseignement à dimension humaine de l’UMons nous délivre une solide formation en physique mais aussi en mathématiques et en chimie. Ensuite et à titre personnel, la première année de master m’a fourni un éventail de l’ensemble des possibilités en physique des matériaux. Finalement, la seconde année m’aura permis de me spécialiser dans l’une de ces disciplines en vue de la réalisation de mon mémoire. »

Emilie Bertrand,Licenciée en Sciences Physiques (2004) et Docteur en Sciences (2009) de l’Université de Mons. Enseignante à la Haute École Louvain en Hainaut depuis septembre 2009.

« Captivée depuis l’enfance par les sciences dans leur globalité, enthousiasmée par les premières réponses aux « pourquoi? » et « comment? » des cours de physique des dernières années du secondaire, j’ai entamé en septembre 2000 une licence en Sciences Physiques à l’UMons.

Diplôme en poche en juin 2004, il m’a été offert la possibilité d’entreprendre une thèse de doctorat au sein de l’UMons. Elle m’a permis de réaliser un travail de recherche dans le domaine passionnant des surfaces et interfaces, à la fois fondamental et néanmoins attaché au monde réel par les implications possibles et interactions avec le monde industriel.

Thèse défendue en octobre 2009, j’enseigne depuis la rentrée de septembre 2009 dans l’Enseignement Supérieur au sein de la partie technique d’une Haute École. Je m’occupe essentiellement des cours de mathématiques et physique aux futurs ingénieurs industriels, ainsi qu’aux bacheliers en chimie ou construction. Les connaissances acquises pendant ma thèse me permettent également d’être responsable de cours plus pointus directement reliés au monde de la physico-chimie des surfaces. »

Aurélie Druart, Physicienne Médicale au sein du service de radiothérapie du GHdC.

« C’est vers l’âge de 7‐8 ans que je suis rentrée de l’école en disant à mes parents « Plus tard, je serai astronome ». À l’époque, je ne comprenais pas encore ce que cela impliquait, mais le virus de la physique m’avait atteint ! Mon intérêt pour l’Univers, ses galaxies et ses étoiles grandissant de jour à jour à partir de cet instant, faire mes études en Physique à l’Université de Mons m’est apparu comme une évidence. Tout ne fut pas simple, mais avec l’enseignement et le soutien des professeurs de l’UMONS, j’ai pu décrocher mon diplôme de Bachelier en Sciences Physiques. À cette période, je me suis remise en question sur mes aspirations futures. Grâce au Prof. é. Daubie ainsi qu’à ses cours de physique nucléaire, je me suis inscrite à l’Université Catholique de Louvain dans l’idée d’obtenir un Master à finalité spécialisée en Physique Médicale (master non organisé au sein de l’UMONS) et un certificat universitaire en physique d’hôpital avec une expertise en radiothérapie.

Dès la fin de mon stage aux Cliniques Universitaires Saint‐Luc de Bruxelles, j’ai été engagée au sein du Grand Hôpital de Charleroi où je peux associer, avec passion, les propriétés physiques des radiations ionisantes et la lutte contre le cancer. »